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Une affaire de sorcellerie à l’unité 12 Parcelles Assainies

  • Photo du rédacteur: sunudeuk
    sunudeuk
  • 29 juil. 2017
  • 2 min de lecture

Une affaire pour le moins surprenante défraie la chronique, depuis hier, à l’unité 12 des Parcelles Assainies, dans une maison située en face de l’intersection de l’unité 15. Il s’agit d’une femme, la soixantaine, qui a fait irruption dans une maison peu avant 22 heures, sous prétexte qu’elle est à la recherche de pitance. Faciès hideux, la dame à moitié nue avec des taches noires et bizarres sur le corps et et son accoutrement bizarre ont surpris la fille qui lui a ouvert la porte de l’appartement au premier étage de l’immeuble dans lequel elle venait de pénétrer. A peine s’est-elle introduite dans l’appartement qu’on aurait cru à une cérémonie de magie noire tellement elle a installé la panique dans cet appartement.

Aussitôt les premières personnes à répondre à la première alerte sont rapidement tombées en transe. Sur le coup, quatre personnes, dont deux filles et un petit garçon, ont perdu connaissance. Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, la dame n’a pas bronché. Les cris stridents d’une femme dans la cuisine de la maison ont alerté le voisinage. Mais personne n’a eu le courage d’approcher la vieille femme. Son corps étant recouvert de talismans avec des têtes d’animaux visibles même de loin. Assise à coté des quatre enfants qui se sont évanouis, elle était là, le regard perçant. Ainsi, personne n’a osé l’affronter. Ne sachant que faire, les habitants de l’unité 15 et 12 ont alerté la police qui a vite fait de rappliquer. Une fois sur les lieux, la dame a joué un vilain tour aux limiers.

Ces derniers ont essayé de la faire revenir à la raison, mais la dame s’est entêtée. Après moult discussions, les policiers ont réussi à tirer d’affaire les quatre personnes dans les vaps et à les assister, avec les sapeurs-pompiers venus en renfort. Au bout d’une trentaine de minutes, les évanouis ont retrouvé leurs esprits. Mais pour cela, il a fallu que la vieille se saisisse d’une bouteille et leur en verse le contenu sur la tête Interpellée par la police, la dame a refusé de parler. Sa seule phrase a été : «Qu’on me donne mes gris-gris». Elle sera ainsi arrêtée et embarquée de force dans une fourgonnette de la police sous les cris des habitants sortis en masse pour dans le dessin de lui faire la fête. «Je savais qu’elle allait faire quelque chose de mal, c’est la deuxième fois qu’elle entre ici. La première fois, je l’avais chassée croyant qu’elle était folle. Mais-là, je suis sûr que c’est une ‘dëmm’», a clamé un résidant de l’immeuble.


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